Peut-être bien qu'il suffisait tout simplement:

- de "prendre son courage à deux mains"

ou

- de "retrousser ses manches"

ou bien encore

- de taper (ou mordre; je ne sais plus) dans la motte.

La liste pourrait être encore plus longue. Mais comme ce n'est pas l'objet de mes propos, on va s'arrêter là dans l'énumération des dictons.

J'aurai pu aussi donner à cet article le titre suivant: "Enjolivures". Vérification faite dans le dictionnaire, il s'agit bien d'un mot français, aussi bizarre cela puisse-t-il paraître.

Quoiqu'il en soit, entrons donc dans le vif du sujet.

Il s'agit donc aujourd'hui de redonner un petit coup de neuf (de jeune ou de propre, comme bon vous semblera) à  notre terrasse que je ne pouvais plus supporter en son état actuel.

Jugez-en plutôt par vous-mêmes!

Je sais: il n'y a pas de quoi en être fière. 

 L'ayant réalisée en son temps à peu de frais, elle a mal vieilli mais a cependant bien rempli ses fonctions pendant un certain nombre d'étés. Même si, depuis je m'étais déjà penchée sur son futur sort, n'empêche que sa réfection totale n'est pas à l'ordre du jour. Il vous faudra donc, tout comme moi d'ailleurs, attendre pour voir sa version finale.

N'ayant jusqu'à ce jour trouver aucune pièce à y coudre, je me suis enfin résignée, un beau matin, à faire quelque chose, avec notamment ceci:

Après avoir ressorti de mes réserves quelques vieilleries glânées ici et là (notamment sur des vide-greniers), l'inspiration a fait le reste. Rien de spectaculaire, je vous l'accorde. Juste de quoi s'y sentir mieux et de pouvoir regarder par la fenêtre sans déprimer.

Pour une fois, c'est mieux en vrai que sur les photos.

Je sais bien: on ne fait pas du neuf avec du vieux! Mais il est bien évident (en tout cas pour moi) qu'il ne s'agit là que d'une solution de transition. Je tiens à le préciser dès fois que JL, mon mari, croirait pouvoir échapper à une nouvelle série de travaux (Rassurez-vous, je ne fais pas que trouver des idées de chantier, je participe activement en matière de travaux. Ce que je préfère, c'est travailler le béton (Ne riez pas, c'est sérieux!); c'est l'occasion pour moi de jouer les manoeuvres. En effet, en pareil cas, je suis en charge de la bétonnière; je devrais plutôt dire que je charge la bétonnière et roule, tant bien que mal, les brouettes de béton à destination. Je vous interdis de rire! Elles arrivent bien à destination, sans renverser en chemin. Venez voir si vous ne me croyez pas!)

Pas terrible comme article, j'en conviens. Je vous ai habitué à mieux.

Aussi, pour me rattrapper, je vous donne rendez-vous demain.

Eh oui, j'ai bien dit DEMAIN.

Ouahh!! Deux articles la même semaine. Serait-ce que je me surpasse!!!

Et pour finir en beauté: un bouquet de fleurs de mon jardin, pour vous remercier de votre fidélité.

Quelques dates:

Tout d'abord, le 18 juin:

- Dans toutes les mémoires, l'appel du 18 juin est le premier discours prononcé par le général de Gaulle à la radio de Londres, sur les ondes de la BBC; discours dans lequel il a appelé à ne pas cesser le combat contre l'Allemagne nazie et dans lequel il a prédit la mondialisation de la guerre. (extrait de Wikipédia).

- Pour nous, c'est chaque année depuis 1991, l'anniversaire de Morgan, notre plus jeune fils. Faites un peu le calcul! Où sont-ils nos...ans!

Je profiterai donc de l'occasion pour publier le jour "J" un article et une page qui lui seront donc consacrés.

Puis le 21 juin:

 C'est aussi tous les ans, la fête de la Musique.

Cette année, dans notre ville, Montreuil-Bellay, elle sera célébrée le vendredi 17 juin en centre ville de 19h à 1h. Prenez-donc date!

Photo d'un dîner où la thématique s'imposait puisque mes deux invités, Julien et Claire, sont d'excellents musiciens et qu'à cette même occasion, je faisais cadeau de mon violon à Julien, mon neveu et filleul. Ce même violon est un instrument de musique de famille puisqu'il appartenait à mon grand-père paternel et donc à l'arrière grand-père de Julien.

Cette fois-ci, quête peu fructueuse. Je vous l'avais bien dit dans mon article intitulé "Retour de..."; on ne peut pas gagner à tous les coups.

Donc, seulement deux objets rapportés du dernier vide-grenier.

Il faudra donc vous en contenter, vous aussi!

Aussi, pour ne pas vous laisser sur votre faim, je vais vous indiquer une astuce pour fleurir rapidement votre intérieur; technique que je qualifie de "méthode express".

Voici donc la marche à suivre pour réaliser, à peu de frais, un bouquet de fleurs du jardin (soit parce qu'on n'a pas le temps de faire mieux, soit parce qu'on est en tout début ou fin de floraison et qu'il n'y en a pas suffisamment pour faire un bouquet digne de ce nom).

Explications en images:

Matériel nécessaire: quelques jolies petites bouteilles (achetées sur un vide-grenier ou trouvées à la cave),

un petit plateau...

des galets (de verre, en ardoise...).

 Et bien évidemment autant de fleurs que de bouteilles:

Voici donc le résultat final:

Pour ma part, je connais en ce moment dans le jardin (après l'euphorie du début de printemps), le manque de diversités de fleurs mais sûrement pas la pénurie de roses. Il n'y a qu'à voir mon rosier "Pierre de Ronsard"; il plie sous le poids.

A noter sur vos agendas: 

En cette fin de semaine, se déroulera à Saumur, le concours international d'attelage; manifestation que Morgan, notre plus jeune fils, passionné d'attelage (bientôt un article et une page seront consacrés à ce thème) ne raterait pour rien au monde. Son rêve: pouvoir y concourir un jour!

C'est bien moi, Gwen!

Je suis rentrée à la maison depuis jeudi dernier. Quelle joie de retrouver les miens; eux aussi étaient contents. Quand ma maîtresse est venue me chercher chez Vanessa, en Vendée http://www.invogueisland.com , je lui ai fait une de ces fêtes d'autant que j'avais reconnu le bruit de la voiture quand elle est arrivée.

Je suis donc rentrée à la maison, SEULE, sans les bébés qui ne me manquent pas du tout car il faut bien l'avouer ils commençaient un peu à m'épuiser maintenant qu'ils sont bien plus dégourdis.

Dès en rentrant, j'ai repris mes bonnes habitudes: je secoue la porte du meuble où sont rangés mon collier et ma laisse pour les longues promenades, histoire de faire comprendre à ma maîtresse, dès fois qu'elle aurait oublié pendant ces cinq semaines d'exil, que çà m'a manqué chez Vanessa, nos balades en totale liberté dans la campagne.

 Mais, j'ai aussi repris les mauvaises habitudes: celles de tordre le nez sur l'alimentation; pourtant il paraît que j'aurai bien besoin de grossir un peu.

Aussi, pour que la solitude ne me pèse pas trop (chez Vanessa, il y avait plein de copains et copines), Jessy, le fils aîné de mes maîtres a laissé sa chienne "Câline" en vacances pour une semaine.

Je voudrais bien jouer avec elle, mais elle, elle en a décidé autrement. Je ne comprends pas qu'elle n'en ait pas envie vu qu'on a le même âge, et même si je suis devenue une maman, j'ai quand même conservé mon côté "gamine" et par conséquent toujours prête à jouer.

Au fait, vous êtes peut-être impatients de voir comment ils étaient mes six petits à 5 semaines! Alors, je vous les présente dans leur ordre de naissance.

En plus des appréciations laissées sur mon Livre d'or par certains des vacanciers qui ont séjourné dans notre gîte (ce que j'appelle "la cerise sur le gâteau" tellement c'est pour moi une belle récompense que de lire et même relire tous ces commentaires élogieux), voici quelques uns des cadeaux qui m'ont été faits par certains d'entre eux.

Il y en a eu d'autres mais vous ne les verrez pas puisque nous les avons consommés quasi-immédiatement.

Merci à ceux et celles qui se reconnaîtront au travers de leurs présents.